Nombre de messages : 3226 Age : 37 maison : Serdaigle genre : Malchanceuse, demoiselle en détresse constante contre sa volontée, Préféte en chef et méchante modo Loisirs : essayer de se sortir de la me*** Date d'inscription : 22/05/2006
Ambre avait évité d'y aller ces derniers temps a cause de ce qui s'était passé et aussi par ce qu'elle n'était pas sur d'en avoir encor le droit. Mais, comme à un animal sauvage, la foret lui manquait et elle avait besoin de voir son amie Goldy ailleur que dans le parc. Aussi, la préféte profita d'un instant où personne ne la voyait pour pénétrer dans la fôret interdite. Elle faisait trés attention où elle mettait les pieds, il n'était pas question de tomber a cause d'une racine, d'une branche ou d'une pierre disimulée sous la neige qui n'avait pas fondue, protegé par la cime des arbres. Se guidant parmis les arbres, se souvenant du chemin exacte de la clairiére ou elle venait si souvent, enfin elle y arriva. Ca n'avait pratiquement paschangé et même si le bosquet la protégant était dénudée de ses feuilles, Ambre reconessait cette clairiére entre mille. Un rocher se trouvait là, elle s'y asseyait souvent... Ambre s'y assis immédiatement et siffla, une, deux, trois fois... et attendit. Au bout d'un moment, des bruits de sabot, une magnifique licorne au poiles mi blanc mi or galopait dans sa direction et s'arréta devant la jeune fille avant de lui donner de doux coups de son museau pour montrer sa joie. Ambre n'y tint plus, elle pris la tête de l'animal dan ses bras et se mis à pleurer. Goldy lui envoya des émotions pour tenter de la rassurer, ne comprenant pas ce qui se passait... "Goldy... J'ai été si méchante! J'ai blessé Ginny et puis Miyu et moi nous sommes disputés... En plus Sammy ne me parle plus, je ne l'ai plus vue depuis ce qui s'est passé avec Tu sais qui... Et personne ne me parle plus... Goldy! Qu'est ce que je doit faire!" Elle savait que la licorne ne pouvait pas lui donner de conseil mais elle était si malheureuse, elle avait besoin de se confier à quelqu'un...
Samantha Desmers 3ème année
Nombre de messages : 822 Age : 34 maison : Serdaigle genre : Pyrokinesiste, télépathe, télékinesiste et dominante mental. Erpetophobe. Souvent surnommé Sammy. Date d'inscription : 25/08/2006
Sujet: Reviens juste (déjà vu?) Ven 16 Fév - 20:32
Poudlard / Lundi 12 Février / 3:55 p.m. / 3e année de Sammy / (Sammy)
Sammy respirait fort. Elle revoyait, comme dans un film en 3 dimensions, ce qui venait tout juste de lui arrivé. Les cactus, le desert, le chat mort, la voiture de police, le policier fou, les coyotes, les Tak! Tak!, le quasi accident, le chien mort, la ville déserte, les byciclettes, l'édifice de ville, la prison, le garçon mort, l'homme qui fut tué devant elle,
Spoiler:
la barre de savon, les barreaux, le coyote, le manoir, Les Cobras et Tak. Surtout Tak.
Elle arrivait à peine (mais pas du tout lui semblait plus approprié) à croire qu'il y avait seulement 10 minutes
(comment elle savait ça?)
, elle était exactement là, s'étant échappée à la fin de son cours pour ne pas faire face à Ginny, Ambre ou Alexander. Elle avait finit par faire face à Ginny, cependant, et bien que leur rencontre initiale ne se déroula pas au mieux (elle avait failli lui sauter au cou et l'étrangler, si Sammy se rappellait bien. parce qu'elle pensait (et, d'un côté, elle avait raison) que c'était de sa faute qu'elles soient bloquées dans cet étrange désert (mais elle savait maintenant qu'il ne s'agissait de rien d'autre que la Base Orange)), elles avaient finit par plus ou moins coopérer pour se sortir de là, ce qui avait failli échouer. Sammy n'avait heureusement pas été blessée, mais elle n'était pas absolument certaine pour Ginny et, comme elle avait perdu sa trace il y a de cela quelque minutes (plusieurs heures pour elles, mais quelques minutes pour vrai), elle ne pouvait pas être certaine. Elle esperait qu'elle ne l'avait pas été, bien sûr.
Sammy prit de nouveau une grande respiration et se recouvra le visage avec son bandeau noir. Celui qu'elle avait originalement créé avec sa robe de sorcier (en la déchirant) dans ce desert horrible (la Base Orange) pour ne pas avoir de sueur dans les yeux. Elle ne portait que sa mini-jupe, son chandail rouge et son bandeau, mais elle ne pensait pas qu'elle allait mourir de froid de sitôt. Elle était plutôt résistante au froid (un peu) et au chaud (beaucoup), et elle venait de passer plusieurs jours dans un desert cuisant (la base orange).
Elle marcha en direction de la forêt, son inutile baguette magique dans la poche, avec l'incapacité de faire des feux ou de lire les pensés, bien qu'elle venait d'en faire un, et plutôt joli en plus de ça.
*Que penses-tu être en train de faire, ma p'tite? Tu vas vérifier, n'est-ce-pas?* lui demanda d'une voix (bien que dans sa tête) insistante Miss Pratico-Raisonable.
Oui, elle allait vérifier. Elle savait qu'Ambre était dans la forêt,
(le bosquet dénudé et le rocher et la clairière reconnaisante des milles)
et savait exactement ou dans celle-ci, et allait le lui demander. D'ailleurs, il lui semblait déjà que---
" Goldy... J'ai été si méchante! J'ai blessé Ginny et puis Miyu et moi nous sommes disputés... En plus Sammy ne me parle plus, je ne l'ai plus vue depuis ce qui s'est passé avec Tu sais qui... Et personne ne me parle plus... Goldy! Qu'est ce que je doit faire! "
Sammy s'arrêta net. Les deux pieds nus dans la neige glacée, portant une minijupe et un chandail à présent couvert d'autant de neige que de poussière et un bandeau sur la quasi totalité de son visage, elle regardait Ambre parler à sa licorne. Elle sentait des larmes couler et geler sur son visage.
*Comment ais-je put lui faire ça? C'est mon amie et je l'ai ignorée parce qu'une autre de ses amies s'était mise à sortir avec un gars. Suis-je si monstrueuse? Dieu!*
Oubliant temporairement le froid, son apparence physique (ses cheveux sales et dans tout les sens, ses vêtements, ses nombreux bleus et petites coupures..), tout ce qui venait de lui arrivé et même Tak, elle s'approcha d'Ambre, lentement, avec difficulté.
Dernière édition par le Sam 23 Juin - 7:08, édité 6 fois
Ambre Lambert Modératrice
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Ambre pleurait toutes les larmes de son corps, elle se sentait tellement seule. Son désespoire était tel qu'elle ne remarqua même pas le son des pas de Sammy dans la neige. Tout ce qu'elle avait gardé pour elle remontait se transformant en une fontaine de larmes chaudes que le vent se dépéchait de faire refroidire sur le visage de la préféte. " Qu'ai-je fait de mal? Pourquoi mes amis me tournent le dos? Je sais ce que j'ai dit à Ginny et à Miyu mais les autres?! Goldy... parfois je me dit que j'aurait mieux fait de rester là bas et d'y mourir plutot que de revenir ici..." Puis elle remarqua que le regard de la licorne n'était plus posé sur elle mais sur quelqu'un dérriére elle. Ambre se leva et se retourna, sa jupette d'écoliére se mis à voler en même temps que ses longs cheveux. Elle vit Sammy, habillée comme si il y avait une canicule alors que le vent était glacial et que la neige n'allait sans doute pas tarder à tomber. En plus son était faisait pensé qu'elle revenait d'une semaine de campagne sauvage dans la brousse... La jeune fille ne sue pas quoi faire. Elle resta immobile, son regard planté dans celui de son amie...
Samantha Desmers 3ème année
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Ce ne fut que là, à ce moment et à cet endroit, qu'elle se rendit compte d'à quel point totalement terribles les deux derniers mois furent. Regarder derrière pour les voir était comme regarder un champ de bataille.
Elle tenta de dire quelque chose mais ne parvint pas à bouger la bouche. Elle tenta de se remettre à marcher mais, bien qu'elle était toujours debout, elle n'y arrivait pas.
Elle commencait vraiment à avoir froid, son sang semblait glacé et son coeur battait de plus en plus lentement, elle s'était entourer de ses bras, comme si elle se donnait une caresse à elle même, et elle avait cessé de greloter. Elle avait les lèvres violettes (bien qu'elle ne pouvait pas voir ça, elle le savait) et le bout des doigts de la même couleur.
Elle sentit ses yeux se fermer et sa bouche faire une grimace qu'elle ne leur dicta pas de faire, et ses yeux se remplirent de larmes. Elles gelaient à mesure qu'elles coulaient le long de son visage. Elle commencait aussi à se sentir faible et elle n'aimait pas ça. Il lui fallait entrer dans le château, mais pas seulement entrer dans le château. Il lui fallait entrer dans le château tout de suite.
Ambre Lambert Modératrice
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Ambre s'était doutée que celà arriverait vue l'acoutrement de Samantha. En quelques secondes elle vit son amie passer du clanc au bleu, surtout les lévres et les extremités. Paniquée, la jeune fille courrut à la rencontre de son amie, retirant sa robe de sorciére et, une fois auprés d'elle, elle envelopa l'autre Serdaigle. "Sammy! Ne t'en fait pas je vais te réchauffer!" Elle pris sa baguette, fit voler quelques bouts de bois vers elle et les firent se poser au centre de la clairiére avant d'incanter un incendio. "Vite Sammy, vien te réchauffer, nous sommes trop loin du château! Goldy! Va te coucher dérriére Sammy pour qu'elle profite de la chaleur de ton corp!" La licorne s'executa. Ambre resta toute proche de Samantha, elle frictionnait les doigts de la jeune fille sous le tissus épais de sa robe de sorciére qui était bien sur plus grande que Sammy... "Mais quelle idée enfin! Nous ne sommes pas en été!"
Samantha Desmers 3ème année
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Une fois encore, elle resta la tête baissée, se laissant frictionner les doigts par Ambre, restant collée à la licorne et regardant le feu de bois devant elle, et ne s'en rendit compte que lorsqu'elle décida qu'elle se sentait assez bien pour parler, qu'elle allait lui répondre. Alors elle leva la tête et regarda Ambre, ses yeux violets dans les siens et---
" Ce n'est pas de ma faute! " elle lanca avec un ton exasperé qu'elle ne voulait pas lancer. Elle tentait de garder le contrôle sur sa voix mais y arrivait plutôt plus ou moins qu'autre chose. " Moi et Ginny, on a été envoyées dans un desert par Les Cobras. Je me suis débarassé de tout ce que j'avait de chaud là bas, parce que je savais que même si on était renvoyés dans la neige à Poudlard, j'aurais toujours put me réchauffer avec ma pyrokinesie. Du moins, c'était ce que je croyais. Anyway, tu te souviens lorsque nous sommes toutes les trois retrouvées dans un manoir il y a de cela plus d'un an? Eh bien il semble qu'il s'agit d'un autre monde ou d'une autre dimension ou quelque chose, et ce desert en fesait parti. Mais je n'avais pas vraiment transplané l'autre fois. Je crois que ce sont Les Cobras qui m'ont fait faire ça. Pis là, cette fois, j'ai perdu conscience près de Pré-Au-Lard et je me suis réveillée dans un desert. Je crois que j'ai été envoyé là par Les Cobras par téléportation ou quelque chose, comme la fois d'avant. Et Ginny aussi. Tu--- "
Sammy soupira, puis baissa de nouveau la tête. Elle avait à peine commencé, mais elle ne se sentait presque plus capable de continuer de parler, déjà. Elle voulait dormir. Cela ne fesait peut-être qu'une heure qu'elles furent dans ce desert, mais elles y passèrent quand même plusieurs jours et plusieurs nuits. Car, elle s'était rendu compte, le temps était (du moins elle croyait que c'était ça le terme) dilaté dans cet endroit, dans la base orange, comme dans la bleue ou la rose.
Ambre Lambert Modératrice
Nombre de messages : 3226 Age : 37 maison : Serdaigle genre : Malchanceuse, demoiselle en détresse constante contre sa volontée, Préféte en chef et méchante modo Loisirs : essayer de se sortir de la me*** Date d'inscription : 22/05/2006
Ambre écouta Samantha essayer d'expliquer cxe qui s'était passé mais la jeune fille ne comprenait rien du tout. Et surtout, entendre parler de Ginny la mettait en colére. c'est d'un ton ferme, d'où l'on sentait vibrer l'agacement qu'elle dit: "Calme toi un peu Sammy... Tien prend ça, tu est a bout de force..." Elle sorti un chocogrenouille d'une de ses poches. C'était tout ce qu'elle avait à manger. "Et s'il te plais cesse de me parler de Weasley!" ajouta-t-elle
Samantha Desmers 3ème année
Nombre de messages : 822 Age : 34 maison : Serdaigle genre : Pyrokinesiste, télépathe, télékinesiste et dominante mental. Erpetophobe. Souvent surnommé Sammy. Date d'inscription : 25/08/2006
La forêt interdite à Poudlard / Lundi 12 Février / 4:02 p.m. / 3e année de Sammy / (Sammy)
Une terrible sentation de déjà-vu l'aspergea et elle ferma soudainement les yeux. Ambre venait de faire ce qu'elle leur avait fait à elle, Ginny et Alexander en refusant non seulement de leur parler (ce qu'elle avait fait) mais aussi en refusant de parler d'eux (ce qu'elle avait plus ou moins fait). Et ce n'était pas tout ce qu'il y avait non plus. Sammy avait une autre impression, et ce n'était pas du déjà-vu, ça. Elle croyait Ginny toujours en danger. En ce moment! Et si Ambre continuait d'agir comme elle agissait en ce moment, Ginny serait aussi bien morte. Elle le savait.
Ce n'était pas sans raison que Ginny n'était pas apparue avec Sammy tout à l'heure. Elle était quelque part, bien sûr, mais Sammy ne pensait pas qu'elle se trouvait ni dans la base orange (ou n'importe laquelle des trois bases), ni à Poudlard. Elle était ailleurs. Et---
*Et quoi?* rétorqua Miss Pratico-Raisonable, avec une voix étrangement brillante (*Mais elle n'est que dans ta tête!*). *Tu sais qu'elle n'est pas là-bas ni ici, mais ça ne nous apporte rien de plus, pas vrai? Il reste tellement d'endroit sur terre, et ailleurs, qu'elle sera sans doute morte avant que tu ne puisse commencer à la rechercher ne serait-ce que dans une seule ville.*
Elle souleva la tête et regarda dans les yeux brillants de la licorne. Elle ignora Ambre, qui avait arrêté de lui frictionnner les doigts, et Miss Pratico-Raisonable, qui ne cessait de dire
(dans sa tête!)
à quel point difficile et même impossible secourir Ginny serait
(*surtout que, depuis ton petit tour à Désespoir, tu n'est, comme ginny, plus capable de faire de magie.*)
. Elle se contenta de regarder dans les yeux de la licorne et de constater à quel point magnifiques ils étaient.
La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 3:45 p.m. / 3e année de Sammy / (...)
L'ÉTÉ EST ICI!
Pas juste l'été, non plus, pas cette année, mais l'apothéose de l'été, hautement parfait dans un assemblement de pelouses vertes, d'un chaud soleil blanc et d'un magnifique ciel parfaitement bleu. Les garçons jouent au baseball et le murmure des tink! des batons de baseball frappant les balles n'arrive pas à la cheville de la mélodie laissée par le camion de crème glacée. Les longs soupirs des tondeuses à gazon, les roulements du moteurs de plusieurs voitures sports, le bruit des patins à roues allignées sur l'asphalte, la musique à la radio et le son des bicyclettes sont, tous ensemble, comme un orchestre jouant la pièce la plus magnifique que vous n'avez jamais entendu. L'été à Portsmouth, en Ohio, oh Dieu, que vous voulez le connaitre. Et sur la rue Jonquille, qui se trouve au sud, en bordure de la ville, dans ce qui est habituellement nommé banlieue, ce n'est que la senteur des hot-dog dans l'air et les quelques feux d'artifices qui restait après le 4 juillet qui importent. Ce fut un chaud Juillet, un parfait bon vieux Juillet chaud, sans aucun doute, mais ce fut aussi, si vous voulez savoir la vérité, un Juillet sec, avec les quelques arrosoirs à pelouse qui lancaient de temps en temps leur petit jet d'eau d'ou ils se tenaient. Ça risque de changer aujourd'hui; la météo annonce, avec une probabilité de 70%, qu'il va sans doute y avoir un orage en fin de soirée.
Mais en attendant, ce n'est que melons d'eau et jus de pomme et sandwichs aux jambons; l'été dont tous ont un jour rêvé et même plus, ici, au centre des États-Unis, la vie aussi bonne que vous ne pouvez le rêver, avec des Honda Civic stationnés dans les stationnements et de gros steaks dans les réfrigérateurs, tous prêts à être cuit sur le barbecue dans les cours arrières (et y aura-t-il des tartes aux pommes maisons après? qu'est-ce-que vous en pensez?). C'est l'endroit où les pelouses sont aussi vertes que celle de la Maison-Blanche et où les parterres sont parfaitements entretenus; le royaume de l'Ohio où les enfants portent leur casquettes retournées et de bonnes vieilles chaussures Nike.
Sur la rue Jonquille, il y a onze maisons et un magasin. Le magasin, qui se tient au coin de la rue Jonquille et de la rue des Pins, est le toujours populaire, toujours en demande, magasin général où, peu importe ce que vous voulez, ça s'y trouvera; cigarettes, disques compacts, bonbons (presque tous un quart de dollard chacun), nécessaire pour barbecue (moutarde ketchup assiettes de papier fourchettes de plastique crème glacée chips), popsicles...
La commis du magasin est nouvelle, avec moins d'une semaine, et en ce moment, à 3:45 dans l'après-midi, elle regarde un petit garçon et une petite fille qui se dirigent vers la magasin, de derrière son comptoir.La fille semble sur le point d'avoir ses 11 ans et est déjà en chemin pour devenir une véritable beautée lorsqu'elle sera plus vieille, et le garçon, clairement son petit frère et ayant une demi douzaine d'années, est déjà en chemin pour devenir un véritable petit monstre (ce n'est que l'opinion de la commis; Alice Rivard).
" Je veux deux barres de chocolat. " le petit monstre s'exclame.
" Mais maman ne nous a donné qu'assez d'argent pour une, si on a un soda chacun. " La belle fillette lui dit avec une patience qu'Alice envie. Si c'était son petit frère, il serait à l'hopitâl depuis longtemps.
" Maman t'a donnée 5 dollards ce matin, je l'ai vu, " le petit monstre dit. " Où il est, Margriiit? "
" Appelle-moi pas comme ça! Tu sais que j'aime pas ça. " Elle a de longs cheveux blonds qu'Alice trouve magnifiques. Ses cheveux à elle, Alice Rivard, sont courts, coupés au dessus des épaules et sont de deux couleurs: verts et oranges.
" Margriiit. Margriiit. Margriiiiit! " le petit frère lance avec l'enthousiaste que seul les petits frères ont.
" Mon nom est vraiment Éliane, " dit la petite fille. " Margaret c'est mon second prénom. Il m'appelle comme ça parce qu'il sait que je deteste ça. Lui c'est Gary. "
" Ça me fait plaisir de te rencontrer, Éliane. " lui dit Alice, avant de se mettre à chercher pour une barre de chocolat et deux sodas.
" Ça me fait plaisir de te rencontrer, Margrit. " le petit monstre de frère imita, grimacant de telle sorte que c'était amusant. " Ça fait plaisir de te rencontrer, Margriiiiit! "
Éliane l'ignora. " J'aime tes cheveux. "
" Merci, " Alice lui dit, souriant. " Ils ne sont pas aussi beaux que les tiens, mais je penses que je vais devoir m'en contenter. Ça fait deux dollards cinquante-cinq. "
L'été, oui, mais pas seulement l'été; on parle du 18 Juillet, le vrai sommet de l'arbre de l'été, dans une ville d'Ohio où un petit garçon a dut avoir un petit wagon rouge qu'il a nommé Buster.
Stephen Ames, quatorze ans, cheveux courts et batteur principal de l'équipe de baseball de Portsmouth, lance le journal local, à partir de sa bicyclette, sur le terrain des Ridells. C'est quasiment un coup parfait et, rebondissant sur l'asphalte du stationnement, le journal tombe sur l'escalier qui mène à la porte d'entrée.
Oh Dieu, c'est l'été, l'été, l'été, et la vie sur la rue Jonquille se fait facile.
Mais pas pour longtemps.
Une caravane d'un rose bonbon marche au ralentit au coin de la rue.
Alice Rivard l'apperçoit la première puis, après un court instant, elle décide de sortir du magasin pour mieux la voir; de toute façon, il n'y avait aucun client, alors le patron ne peut pas la renvoyer.
Elle remarque tout de suite que toutes les vitres sont teintées et ne peut pas appercevoir à l'intérieur. Et qu'est ce que c'est que ça, sur le toit? Une espece de satellite, il lui semble. Est-ce que la CIA, le FBI ou bien la NSA s'était retrouvée sur la rue Jonquille? De l'autre côté de la rue, Alice voit un homme (elle ne connait pas encore bien le voisinage, n'ayant été commis au magasin que pendant une semaine seulement) arroser sa pelouse avec un boyau d'arrosage. Il regarde lui aussi la caravane rose bonbon (mais est-ce vraiment une caravane? en est-ce vraiment une?) avec stupéfaction et perplexité.
Le soleil de fin d'après-midi se réflete sur la caravane, envoyant des rayons si brillants que Alice est momentanément aveuglée.
La caravane continue d'avancer, lentement.
Les choses se passent rapidement maintenant, mais personne sur la rue Jonquille ne le sait encore.
Au loin, le tonerre se fait entendre.
Stephen Ames ne remarque pas la caravane de sa bicyclette, puisqu'il approchait la dernière maison du bloc. Elle appartenait à un policier qui avait supposément tué deux enfants avant de se faire renvoyer de la police. *S'il a tué deux enfants,* pensa Stephen. *Comment ça ce fait qu'il n'est pas en prison?* Mais la liberté de l'ex-policier n'est pas de ses affaires; c'est de survivre ses affaires. Avec cela en tête, ce n'est pas étonnant qu'il ne remarqua pas la caravane rose bonbon qui decendait (très) lentement le long de la rue. Il se concentre fort pour ne pas finir comme la prochaine victime du policier fou; c'était plutôt ironique que son destin ne l'attendait pas devant, où se trouvait la maison du policier, mais à sa droite, où se trouvait la caravane.
Une des portes coulissantes de la caravane s'ouvrit. Le côté droit. Le bout d'une grosse carabine en sortit. Elle n'était d'une couleur étrange. Ni grise ni argent.
La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 3:56 p.m. / 3e année de Sammy / (Sammy)
Une bonne brise tiède toucha ses épaules et elle ferma momentanément les yeux. Elle n'avait pas aucune idée d'où
(une brise froide en été une brise chaude en hiver)
elle venait, mais elle lui souhaitait la bienvenue. Après le vent glacial et la neige qui allait au dessus de ses pieds nus, elle soihaitait la bienvenue à n'importe quoi de tiède.
Et était-ce elle ou elle ne sentait plus la licorne?
Elle ouvrit les yeux et fut de nouveau frappée par une sentation de déjà-vu. C'était le desert (et donc la base orange) de nouveau.
Tient, non. Plutôt...
Ce qui semblait être un beau quartier en banlieue.
*Oh Dieu, c'est pas bon ça. Dans quoi je me suis foutue encore?*
*Dans quoivousvous êtes foutues, tu veux dire?*
Ses yeux devinrent aussi gros que des gallions pendant un moment, alors qu'elle regardait Ambre qui... quoi, au juste? Semblait ébahie? Le coin était charmant, vrai, mais...
C'est à ce moment que le premier coup de feu se fit entendre.
Dernière édition par le Lun 4 Juin - 3:34, édité 3 fois
Ambre Lambert Modératrice
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Ambre fut ébahis. Alors qu'elle essayait de réchauffer Samantha dans la foret, la jeune fille se retrouva dans... ce qui semblait être une chic blanlieue américaine comme on en voyait dazns les films et les series. Comment avaient-elles fait?! Elles étaient dans l'ensceinte de Poudlard pourtant, il leue était impossible de transplaner... Elle se mis à trembler, non de froid mais de peur... "Sammy... Comment..." Le coup de feu retentis et le premier réflexede la jeune fille fut de se placer devant Sammy comme pour la protéger... Avant de se rendre compte qu'on ne tirait pas sur elles. " Qu'est ce qui se passe?"
Samantha Desmers 3ème année
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La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 3:56 p.m. / 3e année de Sammy / (Johnny Smith)
Johnny Smith vit Stephen Ames, le gosse de 14 ans qui distribuait le journal dans le quartier, se faire tirer le premier car il était le seul du même côté de la rue que lui qui était à l'avant de sa maison. La maison de l'homme de 54 ans (qui aimait d'ailleurs bien se faire nommer Le lion littéraire) se trouvait juste à côté de celle du policier recement renvoyé de la police à cause d'une affaire de marijuana (Collie Burlingame) et presque en face du Ez-Shop, le magasin général, qui se trouvait lui même sur le coin de la rue Jonquille et la rue des Pins et qui, depuis 6 jours, était dirigé par Alice Rivard, une jeune femme dans la vingtaine avec un chandail au motif psychédélique et avec les cheveux oranges et verts.
Il avait presque tout de suite remarqué la caravane rose bonbon, qui avait d'ailleurs une allure plutôt futuriste, avec son satellite d'un brun cuivré sur le toit et ses portes coulissantes (roses bonbons) sur les deux côtés. Stephen Ames avancait en vélo vers la maison du policier, en restant sur le trottoir, et la caravane était à présent presque de niveau avec lui. Le gosse ne semblait pas avoir la moindre idée qu'elle était là; il venait de prendre un des journaux locaux du petit sac à l'avant de sa bicyclette et pliait le bras pour le lancer sur l'escalier devant l'entrée de la maison de Collie.
Johnny ne vit pas immédiatement la porte coulissante s'ouvrir et le bout de la grosse carabine en sortir car il regardait le gosse, mais il entendit le Kaboum! qui suivit et le reconnu pour ce qu'il était. Il l'avait recemment entendu suffisament pour ne pas pouvoir le reconnaitre ou même le différencier du tonnerre.
Stephen fut projeter sur le côté de la bicyclette avec force, bras tordus et casquette quittant sa tête. Le devant de son chandail était déchiqueté et il en vit plus qu'il n'aurait aimé en voir; sang rouge et noir, chair déchirée.
Il tomba finalement par terre, le journal qu'il tenait un moment auparavent sur la pelouse de la maison du policier (Collie).
La caravane, quand à elle, s'arrêta en plein millieu de la rue, la porte de nouveau fermée, le moteur toujours en marche. La fenêtre du côté droit (de son côté, aussi) au centre de la caravane s'ouvrit en decsendant, le bout de la grosse carabine (ni gris ni argenté) en sortant.
*Je ne savais pas que les fenêtres sur les portes au centre d'une caravane pouvaient s'ouvrir de cette façon,* il pensa avec beaucoup d'anxiété et une sentation terrible de déjà-vu. *Et est-ce vraiment une caravane? En est-ce vraiment une?*
Deux autres gosses (Gary, 6 ans, et Éliane, 11 ans) montaient la rue (de son côté) en buvant des sodas et ne semblaient pas avoir remarqués la caravane eux non plus. Elle descendait de nouveau le long de la rue, en la suivant mais en s'approchant lentement des deux gosses. La carabine pointait vers eux.
La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 3:58 p.m. / 3e année de Sammy / (Sammy)
Sammy se trouvait du côté gauche de la caravane (mais ça, elle ne le savait pas) en bas de la rue Jonquille (qui formait un cul-de-sac) et ne vit pas la caravane rose bonbon ni le garçon qui tomba de sa bicyclette puisqu'ils se trouvaient en haut de la rue. Elle entendit cependant parfaitement le ka-boum! et le recconu elle aussi pour ce qu'il s'agissait. Elle l'avait, elle aussi, suffisament entendu recemment pour savoir de quoi il s'agissait.
La première chose qu'elle pensa fut qu'elle (elles, à cause d'Ambre) avait été envoyée dans la base rose par Les Cobras. Mais elle chassait rapidement l'idée. Elle n'était pas en montagne, si?
Non. Plutôt dans ce qui semblait être une belle banlieue américaine. Elle ne pouvait donc pas être dans la base rose. Mais où était-elle (elles), dans ce cas?
Elle ne le savait pas. Elle savait cependant que le coup de feu qu'elle avait entendu en haut de la rue ne lui disait rien qui vaille.
" Qu'est ce qui se passe? "
Sammy regarda Ambre, mais pas pour longtemps. Elles (*finalement!*) étaient sur une rue qui allait en montant et d'en haut (à à peu près 250 mètre plus loin, en haut de la rue) leur parvient un autre puissant coup de feu.
Sachant que leurs baguettes ne leur serviraient à rien, elle empogna Ambre par le bras et se précipita vers le haut de le rue (la rue Jonquille, disait l'écriteau qui disait aussi que le bas de la rue était un cul-de-sac).
Dernière édition par le Lun 19 Fév - 21:14, édité 1 fois
Ambre Lambert Modératrice
Nombre de messages : 3226 Age : 37 maison : Serdaigle genre : Malchanceuse, demoiselle en détresse constante contre sa volontée, Préféte en chef et méchante modo Loisirs : essayer de se sortir de la me*** Date d'inscription : 22/05/2006
Ambre entendit un autre coup de feu. Puis elle se laissa entrainer par Sammy mais ne comprenait toujours pac comments elles étaient arrivés là. Non seulement dans la foret interdite il leur était normalement impossible de transplaner mais, en plus, normalement aux Etats Unis aussi c'était l'hivers, or, il faisait trés chaud... Trop chaud même, on se croirait en été. Ambre se rendit compte de quelque chose de bizarre. elle avait l'impression qu'un truc lui manquait... Comme si on lui avait retiré une partie d'elle même encor une fois... elle s'en rendit compte alors que Samantha l'emmenait. * Goldy... Je ne sent plus Goldy!* "Mais Sammy que... Où on est?!"
Samantha Desmers 3ème année
Nombre de messages : 822 Age : 34 maison : Serdaigle genre : Pyrokinesiste, télépathe, télékinesiste et dominante mental. Erpetophobe. Souvent surnommé Sammy. Date d'inscription : 25/08/2006
La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 3:57 p.m. / 3e année de Sammy / (Hanibal)
Hanibal, le chien de la famille Dubois (Éliane, 11 ans, et Gary, 6 ans, étant les enfants... leur maison étant à la droite de celle de Johnny, qui était elle même à la droite de celle de Collie), ne vit qu'une chose et une chose seulement; le journal que Stephen Ames, le gosse de 14 ans, en se fesant tirer (mais le chien ne vit pas ça), avait échappé, en tombant (en étant projeté, plutôt) lui même de sa bicyclette. Il chargea, jappant avec bohneur.
" Hanibal, non! " lanca David, son maitre (et aussi le père d'Éliane et de Gary). Il n'avait pas la moindre idée de ce qui était en train de se passer (il n'avait jamais entendu, à part dans les films, le bruit d'une carabine puissante auparavent, et avait pensé qu'il s'agissait du tonnerre, pas vraiment parce que ça sonnait comme le tonnerre mais parce qu'il pensait qu'il ne pouvait s'agir de rien d'autre dans le contexte de la rue Jonquille par une belle journée d'été), mais il n'aimait pas ça. Le chien l'ignora, cependant, et il se précipita sur le journal qui se trouvait à présent entre la caravane rose bonbon et les deux enfants (Éliane et Gary).
La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 3:57 p.m. / 3e année de Sammy / (Alice Rivard)
Alice Rivard, ses courts cheveux verts et oranges lui tombant en partie dans les yeux, connaissait le bruit que fesait une carabine et, bien qu'elle ne la vit pas sortir (le bout) et qu'elle ne vit pas Stephen Ames se faire tirer (elle était devant le Ez-Shop, en face de la maison de Collie, l'ex policier), la caravane le bloquant de vue, elle sut tout de suite de quoi il s'agissait. Son père avait l'habitude de tirer des cibles dans sa cours arrière lorsqu'Alice était jeune, et il ne cessait de crier Gare! avant de tirer pour prévenir au cas ou quelqu'un avait la mauvaise idée de se mettre dans son champs de tir.
Cette fois, cependant, personne ne cria Gare!.
Elle s'approcha davantage de la rue et vit Johnny (qui était de l'autre côté) regarder la caravane rose bonbon avec les yeux énormes, comme si...
Elle vit la carabine qui sortait de la fenêtre du centre de la caravane (mais les fenêtres au centre d'une caravane ne s'ouvrent pas!). Elle pointait vers la belle blonde qu'elle avait rencontrée il y a de cela quelques minutes, ainsi que son petit monstre de frère. Ils avaient à présent leurs petites têtes tournées vers la caravane mais, pour le moment, il ne semblait pas éffrayés, seulement étonnés.
*Mon dieu!* elle pensa. *Mon Dieu, il ---ou elle--- va tirer les enfants!*
Elle tourna alors la tête vers la droite, en direction de la maison de l'ex policier (c'était l'une des seules personnes qu'elle connaissait sur toute la rue), et vit Stephen Ames dans une marre de son propre sang.
La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 3:58 p.m. / 3e année de Sammy / (David Dubois)
" Éliane! Gary! " hurla finalement David.
Il venait d'appercevoir la caravane qui pointait sur ses enfants. Il s'était mit à courir vers eux, mais Johnny, qui vivait à côté de lui, une maison de plus en haut de la rue, l'attrapa par le bras et le retint.
La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 3:58 p.m. / 3e année de Sammy / (Sammy)
Sammy ignora la question d'Ambre. Elle ne le savait pas elle même, mais elle pensait que ça ne vallait pas la peine de perdre son temps à le lui dire. Il venait d'y avoir un autre Kaboum! (le second), et elle voulait ---devait savoir qui (ou quoi) le provoquait.
Elles arrivèrent devant la maison des Dubois (un homme, qui ressemblait étrangement au petit
(UN AUTRE PERDANT)
garçon qu'elle avait vu mort à Désespoir, mais qui était beaucoup plus vieux, se fesait tenir le bras par Johnny Smith, Le lion littéraire, aussi l'homme de 54 ans qu'elle (elles, avec Ginny) rencontré à Désespoir, qui ne semblait pas avoir vieilli d'un ans) et Sammy lacha tout de suite le bras d'Ambre, regardant se qui se passait devant elle.
Une étrange caravane rose bonbon avec une allure ultra futuriste (satellite de couleur cuivre sur le toit, portes coulissantes, fenêtres arrières automatiques). Ses portes et ses fenêtres n'étaient pas ouvertes, mais il y avait de l'épaisse fumée grise foncée qui sortait par la fenêtre du centre, comme si c'était de là que venait d'être tiré la balle.
Elle posa alors ses yeux sur les deux enfants.
Ambre Lambert Modératrice
Nombre de messages : 3226 Age : 37 maison : Serdaigle genre : Malchanceuse, demoiselle en détresse constante contre sa volontée, Préféte en chef et méchante modo Loisirs : essayer de se sortir de la me*** Date d'inscription : 22/05/2006
Une fois que Sammy l'eu lachée, Ambre verifia si sa prothése ne s'était un peu détachée pendant leur course. Sammy courrait plus vite qu'elle et c'était dangereux pour la préféte des serdaigles de couriraussi vite. La jeune fille regarda dans la même direction que Samantha et vit l'étrange caravane Rose ainsi que la fumée qui s'échapait d'une fenétre. Ambre la regarda, tentant de mémoriser chaques détails qu'elle voyait. Sammy ne lui avait pas répondu et Ambre semblait avoir même oublié qu'elle lui avait posé une question. La disparition de Goldy et sa magie dans son esprit la dérangait grandement. * Qu'est ce qui se passe!*
Samantha Desmers 3ème année
Nombre de messages : 822 Age : 34 maison : Serdaigle genre : Pyrokinesiste, télépathe, télékinesiste et dominante mental. Erpetophobe. Souvent surnommé Sammy. Date d'inscription : 25/08/2006
La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 3:59 p.m. / 3e année de Sammy / (Alice Rivard)
*Ils sont morts,* elle pensa. *Ils sont vraiment morts.*
Sauf que ce n'était pas le cas, bien sûr. Hanibal, le chien des Dubois, s'était précipité sur le journal qui se trouvait entre la caravane rose bonbon et les deux enfants et, apparament, cela occupa l'attention du tireur (les vitres étaient tellements teintés qu'il était absolument impossible de voir quoi que ce soit à l'intérieur... malgré la fenêtre partiellement ouverte), qui le tira à la place. Cependant, il s'agissait d'une carabine (et puissante, en plus de ça), et il devait y avoir une partie des balles qui se dirigea vers les enfants (Éliane et Gary se tenaient dans les bras si fort que, dans d'autres circonstance, cela aurait été minion) puisque Gary lanca un cri et une importante plaie s'était formée sur l'avant de son corps. La petite n'avait rien, cependant. Même si elle était tout près de Gary.
Le chien tomba à la renverse, raide mort. Alice vut que la fenêtre (elle avait traversé la rue et était en face de chez Collie) de la caravane s'était refermée, et qu'elle roulait à présent plus vite, vers le bas de la rue (un cul-de-sac).
" Hanibal! " lanca le propriétaire du chien (et aussi le père des deux enfants... bien qu'Alice ne savait pas son nom). Ils étaient sept de ce côté de la rue, à présent. Elle, en face de chez Collie, l'homme de 54 ans (Le lion littéraire!) qui retenait le maitre du chien par le bras, en face de chez Le lion littéraire (à côté de chez Collie), les deux enfants, qui se trouvaient sur le trottoir en face de chez eux (à côté de chez Le lion littéraire), une jeune fille rousse d'à peu près onze ans (elle pouvait en avoir plus mais elle semblait avoir onze ans) et une jeune fille aux cheveux violets. Personne d'autre. Ni même de l'autre côté.
*Ils n'ont pas entendu?* elle pensa avec une pointe de sarcasme.
La caravane quitta son champs de vision. Elle devait à présent être presqu'en bas de la rue.
*Mais pourquoi n'y a-t-il personne d'autre dehors? C'est une belle journée, pourtant. Il me semblait que la rue était pleine de monde tout à l'heure. Là, il n'y a plus un chat... à part nous sept.*
Collie Burlingame, l'ex policier qui fesait près de 180 cm et 220 livres, sortit alors à la course de sa maison (juste derrière Alicia) avec quelque chose qu'Alicia n'aimait pas beaucoup voir sorti; un pistolet. Autrement, il semblait tout à fait normal.
La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 3:59 p.m. / 3e année de Sammy / (Sammy)
L'un des deux enfant (le gars) était en piteux état, mais la fille (*elle ressemble à Éliane, dit donc!*) n'avait rien. Et elle venait de se faire tirer (indirectement, à cause du chien, mais tirée quand même)!
La rue (Jonquille, d'après l'écriteau) était quasiment déserte. Il y avait la caravane, qui se dirigeait vers le bas de la pente, et 5 autres personne (si on ne comptait pas le jeune ado mort sur le terrain en face de la maison au coin), mais elle était quasiment déserte.
*C'est bizare, ça. J'étais en bas de la rue et je l'ai entendu. Ne me dites pas que tout ceux qui sont ici, en haut de la rue, ont confondu ce bruit avec le tonnerre. Parce que je vais pas y croire.*
La porte au coin de la rue (il y avait déjà une jeune femme avec les cheveux bicolores dans la vingtaine et le garçon mort sur le terrain) s'ouvrit alors à la volée et elle vit la dernière chose qu'elle voulait voir en ce moment.
Il s'agissait du policier fou qui avait tué Gary (le mari d'Éliane, qui avait à peu près 30 ans, à Désespoir), et David (le fils d'Éliane et de Gary, à Désespoir).
Il tenait un pistolet dans ses mains.
Ambre Lambert Modératrice
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Ambre regarda la scéne avec horreur. Le chien s'était fait tré dessus, il y avait un mort, un livreur de journaux apparement, et un autre petit blessé. Puis arriva un type immense avec... un flingue! *Mais qu'est ce qu'on fait ici en pleine fusillade! Pauvres enfants...* Ambre avait envi d'aller voir auprés du petit garçon si il allait bien. Elle était préte a y aller... Mais voire le pistolet de l'homme lui faisait peur
Samantha Desmers 3ème année
Nombre de messages : 822 Age : 34 maison : Serdaigle genre : Pyrokinesiste, télépathe, télékinesiste et dominante mental. Erpetophobe. Souvent surnommé Sammy. Date d'inscription : 25/08/2006
La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 3:59 p.m. / 3e année de Sammy / (Collie Burlingame)
Collie avait entendu des coups de feu à l'exterieur, alors, en vitesse, il prit le pistolet qu'il gardait toujours sur lui (on ne sait jamais), même depuis qu'il avait été renvoyé de la policer, et, celui-ci en main, sorta en claquant sa porte d'entrée. La première chose qu'il vit fut le petit garçon mort sur sa pelouse, puis Alice, puis la caravane rose bonbon, qui descendait moyenement rapidement vers le bas de la rue, vers le cul-de-sac. Il prit le pistolet des deux mains, le pointa vers la caravane qui était sur le point de disparaitre de vue, puis s'arrêta. Il devait être prudent. Si jamais les juges entendaient parler que le policier qui fut impliqué dans une affaire de marijuana (mais ce n'était pas de sa faute; le sac avait apparut tout seul dans sa poche) s'était servi d'une arme à feu qui avait sensée être confisquée, et sur une belle rue de banlieue comme la rue Jonquille, en plus de ça, il risquait beaucoup, beaucoup plus qu'un renvoit. Il risquait la prison.
*Ce n'est pas une excuse et tu le sais* une voix lui dit dans sa tête, alors que la caravane était sur le point de disparaitre de vue. *Tire-là avant qu'elle ne disparaisse. Tire là si tu ne veux pas qu'il y ait d'autres victimes. Tire, bon sang!*
Mais il ne tira pas, et la caravane disparut alors complètement de vue, en gagnant de nouveau de la vitesse. Il eut cependant le temps de remarquer qu'il n'y avait pas de plaque d'immatriculation à l'arrière de celle-ci et qu'il y avait un étrange satellite brun-rouge sur le toit. Collie s'approcha alors de la femme avec les cheveux verts et oranges (Alice), regardant tout autour de lui pour voir s'il y avait des blessés en plus du petit garçon (déjà mort).
La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 3:58 p.m. / 3e année de Sammy / (Johnny Smith)
Johnny Smith lacha le bras de David et celui-ci, ignorant complètement le chien mort qui se tenait sur le bord de la route, se dirigea vers ses enfants, dont un était apparament gravement blessé (Gary). Il vit le policier faillir défoncer la porte, le vit pointer son arme à feu vers la caravane, puis le vit la rebaisser alors que la caravane disparaissait de vue. Le lion littéraire ne prit pas le temps de penser; quelque chose de très grave était (encore) en train de se passer, et il devait faire quelque chose. Il ne s'attendait pas à ce que la jeune fille rousse (qui semblait avoir maximum onze ans mais qui en avait en réalité quatorze) surgisse de nouveau de nul part et qu'elle le(s) sauve à nouveau, alors il fit la seule chose qu'il pensait pouvoir faire pour l'instant.
Il appella la police.
Il fit dos à la rue et pénétra dans sa maison à la course. Il ne prit pas le temps de fermer la porte derrière lui alors qu'il s'élanca dans la cuisine. Puis, les mains tremblantes, il décrocha le téléphone et composa le numéro d'urgence aux États-Unis; le 911. Il y eu une longue pause qu'il trouvait étrange, une pause si longue qu'il faillit même briser la connection (quelle connection, ha-ha?) et essayer de nouveau lorsque ce qui semblait être la voix d'un enfant vint sur la ligne. Le son de cette voix, à la fois pleine et vide, surpris Johnny et lui fit beaucoup peur.
" Petit Smitty n'a pas de connection, na-na-nère! "
Il y eut un clic et le téléphone cessa complètement de fonctionner, comme s'il venait d'avoir été débrancher. Il raccrocha, décrocha de nouveau et recomposa le numéro (911). Il ne se passa rien.
Au loin, le tonnerre se fesait un peu plus insistant.
Ambre Lambert Modératrice
Nombre de messages : 3226 Age : 37 maison : Serdaigle genre : Malchanceuse, demoiselle en détresse constante contre sa volontée, Préféte en chef et méchante modo Loisirs : essayer de se sortir de la me*** Date d'inscription : 22/05/2006
Ambre ne savait pas quoi faire. Chaques minutes qui passaient faisaient venir en elle de nouvelles questions. Elle avait chaud dans sa chemise à manche longue et ses chausettes épausses n'étaient pas ce qu'il y avait de plus rafraichissant. Elle entendit le tonnerre gronder au loin... LA jeune fille tentait toujours désespérément de reprendre contacte avec les sentiments de Goldy mais sans succés.
Samantha Desmers 3ème année
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La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 3:59 p.m. / 3e année de Sammy / (Sammy)
Tak n'était pas là.
Il lui fallut un peu de temps pour le remarquer, puisqu'elle se trouvait en état de choc, mais elle finit par le remarquer quand même. Tak n'était pas là. Il n'était pas dans le corps du policier.
Il ne s'agissait pas du policier qui avait tué Gary et David, mais c'était lui. Il fesait environ 40 centimètres de moins et pesait presque 150 livres de moins. Mais il s'agissait de lui. À la seule exception que Tak n'était pas dans lui.
Sammy le vit lever son pistolet (il était, après tout, un simple policier vivant en banlieu), le vit hésiter, puis le vit rabaisser son arme. Collie n'avait pas osé tirer, mais il était prêt à prendre la situation en main. Il s'approcha de la fille aux cheveux bicolore et lui dit quelque chose, mais Sammy n'entendit pas quoi. Elle se trouvait trop loin de lui, et le tonnerre se fesait de plus en plus fort.
Tout ses sens lui disait d'entrer à l'intérieur, d'entrer à l'intérieur et se baricader, mais elle ne le fit pas. Ils étaient à présent sept sur la rue, et si...
*Sept? Nousétionssept, oui, mais là, le policier est là, alors comment peut-on toujours être sept?*
Elle remarqua alors la disparition de Johnny.
Dernière édition par le Mar 5 Juin - 3:54, édité 1 fois
Ambre Lambert Modératrice
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Ambre aurait bien aimé avoir les mêmes dons que Sammantha en cet instant. Elle aimerait bien savoir ce que son amie pensait... Mais elle se refusait en même temps de penser a ce genre de chose. Elle était inquiéte... Aussi, elle secoua doucement Sammy par l'épaule et lui dit: " Tu va me répondre oui? Où sommes nous? Comme tu as fait pour nous emmener ici alors qu'on était dans l'enscente de l'école? Qu'est ce qui se passe?!" Ambre avait les larmes aux yeux. elle se sentait encor plus seule a cause de l'absance de la magie "Je n'entend plus Goldy..."
Samantha Desmers 3ème année
Nombre de messages : 822 Age : 34 maison : Serdaigle genre : Pyrokinesiste, télépathe, télékinesiste et dominante mental. Erpetophobe. Souvent surnommé Sammy. Date d'inscription : 25/08/2006
- Johnny Smith (le même écrivain que dans Retour à la zone de non retour.) - Collie Burlingame (le même policier que dans Retour à la zone de non retour.) - Sammy - Ambre Lambert - Stephen Ames (le livreur du journal local (à bicyclette). adolescent.) - David Dubois (même nom et même apparence, bien qu'une vingtaine d'années de plus vieux que le David Jones dans Retour à la zone de non retour.) - Éliane Dubois (même nom et même apparence, bien qu'une vingtaine d'années de plus jeune que l'Éliane Jones (Dubois de naissance) dans Retour à la zone de non retour) - Gary Dubois (même nom et même apparence, bien qu'une vingtaine d'années de plus jeune que le Gary Jones dans Retour à la zone de non retour.) - Hanibal (chien de David, Éliane et Gary.) - Alice Rivard (la fille avec les cheveux courts verts et oranges, qui est aussi la commis au magasin général au coin de la rue.)
[Collie, Alice, Stephen (mort)] [Johnny (intérieur)] [Sammy, Ambre] Maison de Collie Burlingame --- Maison de Johnny Smith --- Maison de Davis Dubois --- [...]
La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 4:00 p.m. / 3e année de Sammy / (Collie Burlingame)
" Qu'est-ce-qui c'est passé ici?! " demanda Collie à Alice, alors que David serrait très fort ses enfants dans ses bras. " Est-ce que le garçon a été tué par ceux dans' caravane? "
" Oui, " lui dit Alice, à voix basse. " Son nom est Steven Amez, je crois. " Elle pointa vers les deux enfants, la belle petite blonde et son monstre de petit frère (pour lequel elle éprouvait à présent de la pitié), et rajouta; " Ceux qui se trouvaient dans la caravane ont aussi tenté de tuer les enfants. Mais leur chien s'est jeté dans la rue pour y attraper le journal que Steven avait fait tombé en se fesant tirer ---enfin!, il s'est fait tuer à la place. " Malgré les larmes qui coulaient à présent le long de son visage, elle parlait avec une facilité déconcertante, ce qui étonnait Collie.
" Dieu! " dit Collie.
Elle fit un pas vers le parterre avant de chez Johnny, puis s'arrêta.
" Qu'est-ce qu'on est sensé faire maintenant? "
" Je crois qu'il faut qu'on rentre à l'intérieur. Il est possible que la caravane revienne, alors on doit se mettre à l'abris. Nous appellerons alors la police et nous attendrons sagement que--- "
La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 3:59 p.m. / 3e année de Sammy / (Johnny Smith)
Johnny reposa le combiné sur son support, puis quitta la cuisine. Il se dirigea vers le salon, ou se trouvait un (son) autre téléphone. Il tenta d'appeller avec celui-ci aussi, mais il ne se passait toujours rien. La ligne était morte.
Un frisson le traversa alors qu'il se remit à penser à la voix d'enfant qu'il avait entendu au téléphone. Il était presque certain qu'il l'avait déjà entendue quelque part, qu'elle lui était peut-être même familière, mais il ne parvenait pas a se souvenir ou, exactement.
Il quitta le salon, puis se dirigea vers l'entrée. Il voulait soudainement (et sans raison) savoir ce qui se passait à l'exterieur, puis décida autre chose. Alors qu'il ouvrit sa porte (presqu'à la volée), il lanca: " Les lignes téléphoniques ne fonctionnent plus! "
C'est alors qu'il remarqua que la petite fille rousse
La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 4:00 p.m. / 3e année de Sammy / (Collie Burlingame)
" Nous appellerons alors la police et nous attendrons sagement que--- "
" Les lignes téléphoniques ne fonctionnent plus! "
Alice se retourna brusquement dans le sens de la voix (de Johnny), et Collie fit de même. Sans doute les autres en avaient fait autant, mais il ne pouvait en être certain. D'ailleurs, quelle importance cela pouvait avoir?
Un frisson lui parcourut le corps, et son regard se dirigea vers le bas de la rue. Il lui était impossible de voir jusqu'à l'autre bout, ou se trouvait le cul de sac, et il pensait que la caravane allait réapparaitre d'une seconde à l'autre. Mais elle ne le fit pas.
Ils devaient entrer à l'intérieur. Le plus vite possible. Mais à quoi cela pourrait-il leur servir s'ils ne pouvaient pas appeller à l'aide? Quelqu'un allait forcement finir par entendre les coups de feu, mais à quoi cela servirait-il si ceux n'étant pas sur la rue Jonquille ne pouvait pas appeller à l'aide non plus? Il ne le savait pas. Et n'était pas vraiment sûr qu'entrer à l'intérieur était la plus sage décision. Plus maintenant.
La rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet / 4:00 p.m. / 3e année de Sammy / (Sammy)
" Ambre, écoute-moi. Il faut--- "
" Les lignes téléphoniques ne fonctionnent plus! "
Elle cessa soudainement de parler et leva son regard vers Johnny. Un autre faible coup de tonerre se fit entendre, et Sammy, sachant que Tak n'était pas loin et qu'elle ne pouvait plus faire de magie, se retourna de nouveau, sauf que cette fois c'était vers le bas de la rue.
*Pourquoi donc la caravane n'est-elle pas encore revenue?* elle pensa, ignorant à présent totalement Ambre.
Ambre Lambert Modératrice
Nombre de messages : 3226 Age : 37 maison : Serdaigle genre : Malchanceuse, demoiselle en détresse constante contre sa volontée, Préféte en chef et méchante modo Loisirs : essayer de se sortir de la me*** Date d'inscription : 22/05/2006
Ambre continuait de secouer Sammy par petites sacades. La préféte était baucoup moin calme que son amie. Tout le stress accumulé ces derniers jours était devenut pesant et la jeune fille était de plus en plus sujéte à des crises. "Sammy! Tu m'écoute?" Ambre se fichait bien que les lignes ne fonctionnent plus. Elle était sorciére pas ingénieur en télécommunication... Tout ce qu'elle voulait, c'était revenir à Poudlard, revenir prés de Goldy, la sentir a nouveau au fond de son esprit... Elle commençait à trembler dangereusement.
Samantha Desmers 3ème année
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Portsmouth / Mercredi 18 Juillet 2007 / 4:01 p.m. (heure locale à Portsmouth, en Ohio) / 3e année de Sammy / (Richard Bachman)
Richard Bachman, agent littéraire, avait une devise, et cette devise était
PAS DE PROBLÈME, MON GARS.
Il étudiait toujours en littérature, avec l'espoir qu'un jour il puisse devenir un écrivain à succès. C'était peu probable. Il avait eu 34% à son dernier examen, mais, hey,
PAS DE PROBLÈME, MON GARS.
Il était tout récement devenu l'agent littéraire de nul autre que le légendaire John Carver Smith, Johnny pour les amis et autres personnes intimes, et il se trouvait que, justement, l'homme de 37 ans qu'était Richie Bachman fesait parti de ce groupe. Johnny n'écrivait plus d'aussi bon livres qu'avant, bien sûr, mais
PAS DE PROBLÈME, MON GARS.
Cela fesait que l'argent ne rentrait pas tellement bien pour Richie. Il avait tout récement acheté un Hummer H2 neuf de plus de 35 000$, et il vivait dans un petit appartement à Portsmouth, et s'il ne payait pas le 10 000$ qu'il devait à un gars qui lui avait prêté l'argent pour acheter le Hummer, il allait ---et Richie croyait qu'il était sérieux--- lui casser les deux jambes. Mais, bien sûr, il n'y avait
PAS DE VRAI PROBLÈME, MON GARS.
Aux allentour de 22 ans (à 22 ans, en fait), il avait rencontré un certain Sean, qui était lui-même l'ami de Johnny. C'est ainsi que Richie avait finit par devenir ami avec Johnny, et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il apprit que John Carver Smith en personne vivait aussi à Portsmouth, là où avait habité Richie toute sa vie. Sean était mort dans un accident de voiture il y a de cela une dizaine d'année, accident de voiture ayant aussi impliqué Johnny, bien que celui-ci n'était que légèrement blessé, mais, dans le fond, y'avait
PAS DE PROBLÈME, MON GARS.
Il était à présent à une intersection, au volant de son Hummer H2 neuf; la rue Jones et la rue Jonquille, celle où vivait Johnny Smith. Il activa son clinotant, effectua un virage à droite. Il devait rencontrer Johnny car celui-ci avait presque finit son dernier roman, et Richie devait lui trouver un éditeur. Parler affaires, et peut-être aussi parler du bon vieux temps. Lorsqu'il effectua le tournant et se retrouva dans le cul-de-sac qu'était la rue Jonquille, en ce bel après-midi de juillet, il s'attendait à voir un tas de personnes dehors, heureuses, et bien sûr, ainsi, il n'y aurait
PAS EU DE PROBLÈME, MON GARS.
C'était sensé être ainsi.
ABSOLUMENT PAS DE PROBLÈME, MON GARS,
l'histoire de sa vie.
Sauf que maintenant il y avait un problème, il le voyait très bien. Le cadavre (il ne peut être mort, bien sûr, il n'y avait
PAS DE POBLÈME, MON GARS,
alors il ne pouvait s'agir d'un cadavre, mais Richie Bachman voyait bien le sang tout frais, un tas de sang tout frais, et il savait qu'il était mort) d'un garçon de 15 ans, peut-être, et des gens, une demi douzaine d'entre eux, se trouvaient dehors, et certains pleuraient, certains criaient, certains hurlaient, et Richard appuya sur le frein si rapidement qu'il faillit être projeté sur le rétroviseur. *Si ça ce n'est pas un problème,* il se surprit à penser. * Le mot 'problème' en était un sans sens.*
Il ouvrit la portière et s'approcha de la jeune femme aux cheveux bicolores avec rapidité. Un homme assez grand et musclé se trouvait à côté d'elle.
" Qu'est ce qui se passe, beauté? " il demanda à la jeune, et sentit son estomac faire un tour sur lui même en voyant le garçon qu'il savait à présent mort. Quelqu'un lanca alors un cri, un cri plus fort que tout les autres, et Richie fut surpris que le cri venait de nul autre que Johnny.
La Rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet 2007 / 4:01 p.m. (heure locale à Portsmouth, en Ohio) / 3e année de Sammy / (Johnny Smith)
" Sammy, " il s'entendit murmurer, mais, au dessus des hurlements de David et des pleurs de ses enfants, il savait que Sammy ne l'avait pas entendue. " Sammy. " il répéta, plus fort cette fois. Elle fixait le bas de la rue, où avait disparue la caravane, et finalement, elle se retourna vers lui, ignorant la fatigante jeune fille qui la collait comme une sangsue. Celle aux cheveux et aux yeux violets. La jeune fille (pas aussi jeune que Sammy, bien sûr) qui tremblait comme une feuille au vent. Elle devait être en état de choc. Pas surprenant. Mais comment connaissait-elle Sammy, cette petite trouillarde?
" Johnny, il faut entrer tout le monde à l'intérieur avant que--- "
Un puissant coup de frein masqua le reste de ses paroles, et Johnny quitta le regard pesant de Sammy (*mais MON DIEU! c'est impossible!* il pensa, tout en se mettant à trembler comme une putain de feuille à son tour. *Sammy est tellement... pareille! Même robe, pieds nus, bandeau noir sur ses cheveux, petites éraflures sur le visage... comme si moins d'une heure ne s'était écoulé depuis la dernière fois, mais ça fesait cinq mois, cinq maudits mois, et elle était si... PAREILLE! Comme si... comme si elle était allée dans le futur, merde!*), puis regarda dans la direction du bruit. À l'intersection se trouvait un Hummer H2, et pendant l'espace d'un instant, il pensa au vieil homme avec le bandeau de pirate sur l'oeil droit, qui s'était retrouvé dans un Hummer lui aussi, alors que Johnny se trouvait dans ce que Sammy nommait la Base Orange. Sue. Mais il reprit vite l'esprit, et comprit qu'il ne s'agissait que du véhicule de son agent littéraire, qu'il voyait en train de se diriger vers Alice, la femme aux cheveux oranges et verts, la femme au chandail au modif psychédélique. Johnny le vit demander quelque chose à la femme, puis le regard de Johnny fut attiré par quelque chose d'autre, au loin. Il s'agissait d'un homme et---
" Sue! " hurla Johnny, reconnaissant le vieil homme au bandeau de pirate sur l'oeil droit, l'homme qui tenait un pistolet ---rien de moins qu'un .45 mm--- dans une main et un couteau dans l'autre, l'homme qui s'avancait vers la rue Jonquille, vers sa maison à lui, là où il avait cru toujours être en sécurité, pas comme dans le maudit désert du Nevada, et il hurla de nouveau.
Sauf que, cette fois-ci, ses paroles étaient inconpréhesibles.
Il avait trop peur.
Ambre Lambert Modératrice
Nombre de messages : 3226 Age : 37 maison : Serdaigle genre : Malchanceuse, demoiselle en détresse constante contre sa volontée, Préféte en chef et méchante modo Loisirs : essayer de se sortir de la me*** Date d'inscription : 22/05/2006
L'absance de Goldy dans sa tête perturbait grandement la jeune fille qui ne voulait que avoir des réponces de Sammy et rentrer à Poudlard. Elle avait aussi baucoup trop chaud avec ses vêtements d'hivers. Pourquoi Sammy ne répondait pas? Elle aussi avait décidé de l'ignorer? Ambre se sentait déjà assez seule... Elle désespérait au point de ne poas avoir remarqué la voiture ni le borge qui était arrivé... Elle ne l'avait pas remarqué jusqu'a ce que l'une de spersonnes présente ne dise le nom de cet homme... Ce fut comme un éclaire dans le brouillard. Elle regarda l'homme qui lui avait mentis pour la piégé lors de leur derniére rencontre. L'homme qui, lui aussi avait faillit la tuer. Elle en avait une peur bleu, une peur tout ausis grande que celle qu'elle avait resentis quand Voldemort était venu dans la salle commune pour la voir... La jeune fille tremblait toujours, le simages de sa rencontre avec le Cobras repassérent dans sa tête... La jeune fille n'eu qu'une seule réaction, elle se mis légérement devant Sammy...
Samantha Desmers 3ème année
Nombre de messages : 822 Age : 34 maison : Serdaigle genre : Pyrokinesiste, télépathe, télékinesiste et dominante mental. Erpetophobe. Souvent surnommé Sammy. Date d'inscription : 25/08/2006
Samantha Desmers (Sammy) Ambre Lambert John Carver Smith (Le Lion Littéraire, Johnny) Richard Bachman (Richie) Sue Snell Cassandra Demers Barkins (l'homme noir, l'homme sans visage) Subordinius Lloyd (Lloyd) Samantha Desmers (l'autre Samantha) Collie Burlingame (le policier) Alice Rivard Hanibal (le chien) Stephen Ames = Adolescent de 14 ans. Livreur du jounal sur la rue Jonquille. Éliane Dubois = Fille de David Dubois et de Kristie Jones. 11 ans. Grande soeur de Gary Dubois. David Dubois = Mari de Kristie Jones. Père de Gary Dubois et d'Éliane Dubois, Gary Dubois (le petit monstre, selon Alice Rivard) = Fils de David Dubois et de Kristie Jones. 6 ans. Petit frère d'Éliane Dubois. Kristie Dubois /Jones de naissance/ (Pie) = Femme de David Dubois. Mère de Gary Dubois et d'Éliane Dubois. Tak = Tak
Magasin général --- [Vers le cul-de-sac (ou se trouve la caravane rose)]
[Collie, Alice, Richard, Stephen (mort] [Johnny (palier de la porte)] [Sammy, Ambre] Maison de Collie Burlingame --- Maison de Johnny Smith --- Maison de David Dubois --- [Vers le cul-de-sac (ou se trouve la caravane rose)]
La Rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet 2007 / 4:01 p.m. (heure locale à Portsmouth, en Ohio) / 3e année de Sammy / (Sammy)
Le coeur battant à la chamade, Sammy regardait la pente descendante, celle qui menait au cul-de-sac qu'elle et Ambre venaient de quitter. La caravane s'y était aventurée et qui, mesdames messieurs, sait quand elle va revenir? Personne dans la foule? Bien, car moi non plus.
Après ce qui lui sembla toute l'eternité, une petite voix, voix qu'elle avait sans aucun doute imaginée, lui vint, et elle disait son nom: Sammy. Ses petits yeux terrifiés ne quittèrent cependant pas l'endroit, et la crainte que la caravane ne revienne était plus forte que jamais. Ils devaient tous entrer, et le plus vite possible, mais qu'est-ce qu'elle fesait là, à regarder la rue, la conne? Si elle se pointait de nouveau, cette caravane, ils n'allaient pouvoir rien faire, et cela incluait Collie, bien qu'il avait son pistolet de service. Car que peut bien un pistolet contre de la magie, et un tas, en plus de ça.
" Sammy. "
Cette fois, Sammy savait qu'on lui avait parlé, et la première chose qu'elle fit fut de dire (oh, elle s'était retournée avant, bien sûr, mais ce n'était pas important, ça): " Johnny, il faut entrer tout le monde à l'intérieur avant que--- "
Oui, elle avait reconnu la voix de Johnny, et...
Ce ne fut que là qu'elle remarqua que la présence pour le moins dérangeante d'Ambre la dérangeait vraiment. Elle ne pouvait pas cessé de la coller, un peu? Dieu! que ça ferait du bien.
Ce qu'il lui fallut un peu plus de temps à remarquer, cependant, et ce qui l'avait par ailleurs interromput, il faut le dire, c'était le puissant coup de frein, bien qu'il était bruyant comme tout.
Lorsqu'elle tourna la tête à nouveau, un espèce de présentiment terrible l'envahit, et elle savait ce qu'allait dire Johnny bien avant qu'il ne le dise ---ne le hurle, plutôt, mais bon.
Sauf que ça n'allait pas être tout ce qui allait se passer, ça non. Elle le savait déjà, bien qu'elle ne savait pas quoi, exactement.
" Sue! "
Tout le monde, incluant David et ses enfants, et même elle et Ambre (qui s'était placé légèrement devant elle, avec une absurdité peu commune, même pour Ambre), regardaient vers l'intersection, là ou se trouvait maintenant un Hummer H2, qui appartenait à nul autre que Richard Bachman. Elle ne savait pas que c'était à lui, précisement, mais elle savait que ce n'était pas aux Cobras ni à la femme (ou l'homme, qui sait?) s'étant fait passé pour elle avec un peu de polynectar (ce point là était clair dans sa tête, au moins), et pour l'instant c'était suffisant.
Un peu plus loin, là ou commencait l'autre rue, tout de suite après l'intersection, elle voyait le vieil homme ayant hanté un nombre si élevé de ses rêves qu'elle en avait perdu le compte se diriger vers elle, en marchant assez lentement, la main tenant un couteau serrée fortement sur sa poitrine, l'autre tenant un pistolet .45mm qu'il pointait vers le sol, un bandage de pirate (ou ce qui y ressemblait beaucoup) sur l'oeil droit et un horrible rictus sur le visage, sorte de grimace terrifiante qui aurait peut-être suffit à réveiller les morts. Sue. Sue Snell.
Puis, alors qu'elle s'apprétait à hurler à tous de se sauver de lui ou d'entrer dans les maisons ou quelque chose, elle remarqua plusieurs choses, et ces choses changeaient tout.
Bien sûr, tout ça c'était sans compter ce qui était pour arriver avec Stephen Ames, le jeune garçon mort.
La Rue Jonquille / Mercredi 18 Juillet 2007 / 4:01 p.m. (heure locale à Portsmouth, en Ohio) / 3e année de Sammy / (Collie Burlingame)
Collie n'en croyait pas ses yeux.
Lorsqu'il avait vu l'agent littéraire de Johnny faire ce qu'il fit, il n'en fut pas tellement étonné. Lorsque Richie arrêta son Hummer, le quitta, alla demander à Alice ce qui se passait, commenca à trembler en voyant de près Stephen, Collie savait que c'était normal. Le choc, peut-être. Alice qui fut sur le point de lui répondre ne l'étonna pas non plus, et le cri que lanca Johnny fut presque attendu. Il se souvenait de Sue, un peu. Vaguement, comme dans un mauvais rêve. Et le fait qu'il soit celui qui soit en train de provoquer cela n'était pas très étonnant. Ce qu'il faillit ne pas croire, ce fut ce qui se passa avec Stephen Ames, ce qui fit arrêter complètement Alice, qui ne répondit pas à Richie, finalement.
Il se leva.
Il n'y eut pas de tambours pour l'accueillir ni rien, pas d'orchestre de rebienvenu ou quelque chose d'autre. Il ne fit que se lever, même si la partie arrière de sa tête manquait, parce qu'il avait autrefois (*Ça fait combien de temps, déjà? Deux heures, surement?* Mais il était loin de se douter que seulement 16 minutes s'étaient écoulées depuis le tout début.) été tiré là, à l'arrière de la tête, par la puissante carabine (ou fusil ou quelque chose) de la caravane rose avec le sattelite de cuivre.
Puis, son regard fut attiré par Sue, qui s'en venait lentement, la main sur la poitrine, haletant, comme s'il venait de courir des kilomètres et des kilomètres sans prendre de repos, vers eux, et Collie remarqua que Sue, avec un effort remarquable, se remit à courir de plus belle, agitant sans cesse son pistolet (*pas de baguette magique cette fois?* il pensa stupidement, bien qu'il avait été possédé par Tak lorsqu'il avait vu Sue la dernière fois, et donc qu'il n'était pas sensé s'en rappeler) et son couteau dans les airs, et hurlant de toutes ses forces; " ENTREZ À L'INTÉRIEUR, ILS ARRIVENT, ENTREZ À L'INTÉRIEUR, ILS ARRIVENT! "
Puis Collie vit que Sue se retourna et commenca à tirer comme un fou avec son .45 mm, et c'est alors qu'il l'appercut; une caravane jaune canari, une couleur que seul un enfant peut aimer, s'en venait tranquillement vers eux, et, du bas de la rue, une caravane rose bonbon, une couleur que seul un enfant aurait put aimer, s'en venait, elle aussi, bien qu'avec une lenteur imprécise. Et, bien entendu, il s'agissait de la caravane jaune que Sue tirait.
La policier sentit ses mains prendre Alice et Richie par les bras, et il se mit à les tirer vers la maison de Johnny, qui se trouvait juste à côté, esperant que les autres
(pas beaucoup nous ne sommes pas beaucoup mais il faut pas penser ou sont les autres pour le moment pas penser pas penser pas)
entreraient eux aussi, esperant (paradoxalement) que Sue était vraiment en danger, lui aussi. Car si il était en danger, ce qu'il disait devait être vrai, si?
Il vit Johnny se diriger vers les deux jeunes filles, la petite rousse que Collie avait déjà vue à Désespoir et une autre qu'il ne connaissait pas, ainsi que vers David et ses deux enfants, et puis il ne les vit plus; il était rendu dans la maison de Johnny Smith. Tout ce qui lui restait à faire, c'était d'attendre et d'esperer que Johnny revienne avec les autres avant que les caravanes ne soient en place... et avant que Sue n'arrive, ce qui ne devait plus tarder (une dizaine de seconde au maximuim, selom Collie).
Stephen Ames lui avait complètement sorti de la tête.
La caravane jaune (intersection de la rue Jonquille et de la rue Jones) La rue Jonquille La caravane rose (presque rendue devant la maison de David Dubois)
[Sue (qui tire sur la caravane jaune, Stephen (mort mais debout?] [Collie, Richie, Alice (intérieur de la maison, tout les trois)] [Johnny, Sammy, Ambre] Maison de Collie Burlingame --- Maison de Johnny Smith --- Maison de David Dubois --- [Vers le cul-de-sac]
Explication de la partie 2;
Sue arrive en courant du coin de la rue, pourchassé par une caravane jaune (ça fait enfantin écrit comme ça, je trouve, mais peu importe), et hurle à tout ceux qui sont sur la rue Jonquille d'entrer à l'intérieur des maisons pour se mettre en sécurité. Il se met alors à tirer avec son pistolet sur la caravane qui le pourchasse. Il court en même temps en direction de la maison de Johnny, car il veut lui aussi se mettre en sécurité.
Pendant ce temps, Collie, qui entend Sue hurler de se mettre en sécurité, prend Richie et Alice par le bras et les conduit chez Johnny.
Johnny, quant-à lui, décide de courir vers Ambre et Sammy pour les mettre en sécurité. David, lui, décide comme tout les autres de prendre ses enfants et de se diriger vers la maison de Johnny, pour se mettre en sécurité, lui aussi.
Finalement, la caravane rose, celle qui a tiré sur Stephen et Hanibal (le chien), remonte la rue, et se dirige vers l'intersection de la rue jonquille et de la rue jones. Au moment ou le sujet se termine (alors que Collie, Richie et Alice sont dans la maison de Johnny et que David commence à se diriger avec ses enfants vers la maison de Johnny et que johnny se dirige vers Ambre et Sammy), la caravane rose est à une dizaine de mètre de la position de David et ses enfants, qui sont sur le trotoir en face de chez David Dubois.
Ambre Lambert Modératrice
Nombre de messages : 3226 Age : 37 maison : Serdaigle genre : Malchanceuse, demoiselle en détresse constante contre sa volontée, Préféte en chef et méchante modo Loisirs : essayer de se sortir de la me*** Date d'inscription : 22/05/2006
*Mais qu'est ce que...* Ambre regardait ce qui se passait sans comprendre. Sue leur disait d'aller à l'interieur des maisons sans doute pour les protéger (?) et qui tirait sur une caravane Jaune canari du plus mauvais gout... La caravane rose qui était la cause du carnage remontait à présrent la rue... Elle commençait à pense que soit elle devenait folle soit c'était un rêve. La chaleur était insuportable pour la jeune fille qui se sentait partir... Une homme qu'elle ne connessait pas s'était approché d'elle et Sammy...